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Nouveautés - 30/07/2018

C'est parti pour la Transcontinental Race !

C'est parti pour la Transcontinental Race !
Le coup d'envoi est lancé. Les coureurs, comme Shandor Posch, dont Smart Appart sponsorise l'aventure, ont pris le départ ce 29 juillet à 22h pour la course cycliste qui durera une quinzaine de jours durant lesquels ils parcourront 4000 km à travers l'Europe. Voici ce qu'il faut savoir sur la Transcontinental Race.
 
 
Une course solitaire et sans assistance. La Transcontinental Race est une compétition sportive mais aussi une aventure humaine. Shandor Posch, alias Patrick Miette dans la vie, prendra le départ avec les autres coureurs pour la 4ème année consécutive. Pour lui, c'est un défi et moment de découverte. « J'ai toujours aimé le voyage, perdre ses repères, sortir de sa zone de confort. Chaque parcours est différent, c'est pour ça que j'y retourne », confie l'homme.
 
Le parcours est libre à l'exception du départ, au pied du mur Grammont en Belgique, de 4 points de passage durant la course qui changent tous les ans. Cette année ce sera Bielerhöhe Pass (Silvretta-Hochalpenstraße), en Autriche, Mangart Sedlo, en Slovénie, Karkonosze Pass, en Pologne et Bielašnica, en Bosnie. Chacun étant situé en altitude, ils obligent les coureurs à mobiliser une grande dose d'énergie et ajoutent leur lot de dénivelé. La ligne d'arrivée est prévue aux Monastères des météores en Grèce.
 

Transcontinental Race: un moral d'acier pour aller au bout

Un parcours intense physiquement auquel s'ajoutent tous les aléas que l'on peut rencontrer sur la route : problème de matériel, de santé, les coureurs doivent tout gérer eux-mêmes. Mais c'est aussi un défi sur le plan psychologique. «  Pour faire cette course, il faut un moral en acier », comme le dit le coureur parisien de 46 ans.
 
Les check-points sont révélés au mois de mars. A partir de là, un gros travail commence pour mettre au point son parcours. « Il faut chercher le bon chemin, les infos. Pour la France, la Belgique, l'Allemagne c'est plutôt facile à trouver, mais en Bulgarie par exemple, beaucoup moins. Derrière un écran c'est dur de se rendre compte de l'état des petites routes, parfois il faut changer d'itinéraire, car ce qu'on a prévu s'avère dangereux. Il y a toujours des soucis de parcours », raconte Shandor Posch.
 
Mais la difficulté ne décourage pas les participants, dont le nombre ne cesse de croître. Lors de la première édition, il y a six ans de cela, 30 coureurs se sont inscrits. Un an plus tard ils étaient 70, puis 130 l'année suivante, et ainsi de suite. Si bien que depuis 2 ans, les organisateurs de la course ont fixé un quota maximum de 300 participants, sélectionnés sur dossier selon leurs compétences.
 
Grâce aux trackers dont sont équipés les coureurs, vous pouvez suivre leur couse en direct minute par minute sur le site de la course. Parmi les 300 cyclistes, ils ne franchiront pas tous la ligne d'arrivée, loin de là. « On puise très loin dans l'énergie, les ressources, la force. En 2015, 172 personnes ont pris le départ, 89 ont fini la course. Arriver, c'est déjà une performance », conclut Shandor Posch.
 
Crédit photo : Shandor Posch 
 
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